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Archéologie & Nature |
Nous sommes le samedi 24 novembre 2012, jour de week-end et autant jour férié pour nous. C’est journée de fête de l’Achoura c’est-à-dire le dixième jour de la nouvelle année hégirienne. Tôt le matin j’ai pris le petit déjeuner exclusivement avec de la « Bouicha », un met jijelien composé de « dchich, de dattes et d’huile que l’on cuit dans un bain marie » et que l’on prépare à cette occasion. Je vous en parlerai un jour si vous le désirez. Puis je me suis orienté dès lors vers la gare de Jijel pour prendre le bus en direction de Ziama. Précisément à Azirou pour jeter un regard nouveau sur les restes de vestiges de la cité perdue de Choba.....
Lire l'article >>L'occupation humaine de la région de Tébessa est ancienne ; on a retrouvé des outils préhistoriques, des haouanet et une station dolménique au sud-est. Un peuplement libyque organisé et très ancien est attesté ; on a observé un aménagement préromain qui était destiné à retenir l'eau.
L'histoire de Tébessa au IIe et Ier siècle av. J.-C. ne nous est pas connue. Aucune trace onomastique ou institutionnelle de contact avec Carthage ne nous est parvenue ; elle dut probablement subir une influence accrue des rois de Numidie vraisemblablement au cours du règne de Massinissa...
Lire la notice >>>Les spécialistes de l'art rupestre du Sahara et des confins sahariens signalent souvent la présence de caractères dits «tifinagh» auprès des gravures qu'ils étudient. Il s'agit d'inscriptions rédigées dans une écriture dont les documents sahariens ne sont pas les seuls exemples...
Certains de ces alphabets appartiennent à l’Antiquité : ils figurent sur des inscriptions souvent nommées «libyques» (sans référence à la Libye actuelle), dont plus de mille ont été trouvées en Afrique du Nord, de la Tunisie au Maroc. La langue de ces documents, stèles funéraires pour la plupart, est tenue pour un état ancien du berbère. Quelques-uns sont accompagnés d'un texte punique ou latin...
L'objet de cet article, rédigé par Lionel Galand, est de présenter simplement et brièvement l'écriture libyco-berbère. Il ne développe pas l'argumentation et ne cherche pas l'inédit, même s'il a permis à son auteur de préciser certains développements.
Lire l'article >>Évoquer aujourd’hui la mort de Benyahia et de ses compagnons relève presque de la catharsis pour moi. Durant 30 ans, sa disparition me paraissait une énigme irrésolue. Elle le demeure, tant l’enquête sur l’accident tragique qui l’a emporté a un relent d’inachèvement. Mais en parler, c’est un tant soit peu soulager une mémoire jusque-là travaillée par l’ampleur d’une attaque en somme contre l’Algérie, ...
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