jijel-archeo |
Archéologie & Nature |
Depuis quelques mois, le site jijel-archeo n’est plus mis à jour régulièrement. Vous avez sans doute du le constater amèrement. En effet, des mois durant, j’étais occupé à faire un travail d'inventaire archéologique... J'ai du prendre alors un répit, au grand dam de mes amis et visiteurs qui regardent habituellement le site, qui n'ont plus retrouvé, et je les comprends, de nouvelles sensations, et n’ont plus supporté de ne plus être abreuvé de nouvelles découvertes, d’inédites pistes dans la quête de leur histoire, de leur antiquité.
Dans cette nouvelle version non encore finie, j'ai du repenser plusieurs rubriques et regrouper d'autres. Pour vous dire que certains liens renvoient vers d’anciennes pages, dont les dossiers n’ont pas été encore traités. Pour vous faciliter la tâche, j’énumère ici les rubriques terminées à 90% et que vous pouvez dès maintenant entrevoir à partir du menu d’en haut et les découvrir.
Les autres rubriques le seront au fur et à mesure que nous vous soumettrons de nouveaux travaux à éditer ici. Je vous l’assure, à chaque mise à jour, il y’aura du frais, de l’inédit et du récent.
À travers ces pages fraîches, vous allez comprendre le pourquoi du retard !
Lire >>Natif du village d’El Oueldja, près d’Erraguène, petite commune enserrée au cœur des Babors, dans la wilaya de Jijel, connue notamment pour son fameux barrage d’Erraguène, Slimane Zeghidour ne manque jamais d’aller en pèlerinage en terre de ses ancêtres chaque fois qu’il vient en Algérie.
Un moment aussi exaltant que douloureux au vu de l’état de dégradation de la vie villageoise dans la région. Le témoignage de notre confrère en dit long sur la mort programmée de nos montagnes jadis glorieuses, aujourd’hui livrées à leur souveraine solitude...
Lire l'article >>L'un des plus important cimetière qui existait à Jijel, était proche de l'ancienne ville. La nécropole commence donc du cimetière actuel de Sidi Ahmed Amokrane pour finir sur les rives de la mer, à l'endroit de Mers Chara, que les français nommaient: anse de Picouleau. Il y avait tout près de là, il faut s'en souvenir, les caveaux disparus situés au bord de mer que l'on désignaient par «Ghar Bimbo», en référence aux buveurs de vin qui s'y abritaient...
N'ayant pas trouvé de dénomination à cette exceptionnelle nécropole, si méconnue, j'ai décidé de lui donner un nom, celui de Nécropole de Marsa Charaâ, en référence à l'anse ou port des galères, auquel aboutissait le cimetière avant les constructions modernes...
Lire l'article >>Dès la seconde moitié du XIXe siècle, un pays comme la France a commencé à produire des dictionnaires topographiques, notamment des répertoires départementaux où figurent les noms de lieux ainsi que leurs formes évolutives. Un cours de toponymie, confié à Auguste Longnon, est institué au Collège de France : c’est dire l’importance de l’entrepris. Le dialectologue Albert Dauzat devait, quelques années après, donner une base théorique à la discipline, en fondant la Revue Internationale d’Onomastique puis, en organisant, en 1938, le premier congrès international des sciences onomastiques. Aujourd’hui, l’onomastique est enseignée dans un grand nombre de pays. Il est regrettable que l’université algérienne n’ait pas institué un tel enseignement dont l’utilité n’est plus aujourd’hui à démontrer.
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