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Jijel, Les grandes Histoires |
Ces
mots de Ferhat Abbas prononcés
quelques jours seulement avant
le déclenchement du
1er novembre 1954 sont toujours
d’actualité. A lui seul Ferhat Abbas
Mekki incarne la probité et la
sincérité dans l’exercice de la
politique. Il a
toujours défendu les pauvres, soutenus les paysans et
respecter ses
adversaires. Il aimait ces concitoyens et son pays. La trame de son
combat est une ossature de constitution.
Ses idées
visionnaires et intelligentes demeurent tout autant avant-gardistes
et auraient pu être bénéfique
pour une rédaction attentive d’une constitution
moderne et démocratique. Une belle projection toujours
tenante
et valable même aujourd'hui. Sa lettre de
démission Lettre de démission de
Ferhat Abbas de l'assemblée nationale.
12 août
1963,
«Le sang des Chouhada trahi»
du parlement en
1963 en est la preuve
éloquente. Elle
résume l’esprit de combat de toutes les couches de
la société algérienne, ses avatars,
ses contradictions et ses espérances politiques
post-indépendance. Dommage pour
l’Algérie et respect pour celui qui
a
été de tous les combats de
l’Algérie contemporaine.