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Journal-archeonat N° 23, Septembre 2009

Bloc-Notes
Plus de mille chardonnerets saisis en été 2009 dans la wilaya de Tlemcen

Bien qu'ils soient protégés par la loi, des milliers de chardonnerets élégants font l'objet d'un indescriptible trafic le long de la frontière algéro-marocaine. Le nouveau genre de trafiquant, tente d'introduire du Maroc ces passereaux très demandés, après leur quasi-disparition de la région. Tous les oiseaux saisis, ont été relâchés dans les forêts avoisinnantes de Bled Chahba, de Sidi M'hamed Ouassini et dans la reserve de Moutas.

Septembre 2009
Des tableaux supposés de Picasso découverts à Tiaret

Le Sept tableaux  d'art, qui auraient appartenus au célèbre peintre Pablo Picasso, ont été découverts paru citoyen alors qu'il effectuait des travaux de fonçage d'un puits, dans la commune de Medrissa, à 60 km au sud  de Tiaret. Ces toiles qui porteraient la signature du peintre, ont été transférés au musée des Beaux-Arts d'Alger pour authentification....

Août 2009
Le voilier scientifique Tara fait escale au port d'Alger

Dans le cadre d'une exploration océanographique de trois années autour de l'océan indien, la mer rouge et la Méditerranée, dans le but d'analyser et diagnostiquer les écosystèmes marins, pour en préciser les conséquences de la pollution et du réchauffement climatique, le voilier sientifique « Tara » a fait escale à Alger. Cette expédition permettra d'établir une carte à l'échelle mondiale des écosystèmes planctoniques, à même de permettre en exergue des plans de protection des systèmes terrestres et marins et d'en adapter les politiques. Un programme de sensibilisation et d'éducation accompagne cette expédition.

Septembre 2009
Le tableau «La Biche Morte» de Gustave Courbet Retrouvé  à Paris

Le tableau peint en 1857, a été dérobé au musée Ahmed Zabana d'Oran en 1985. Recherché par Interpol, il a été retrouvé par des tiers au musée d'Orsay. D'une valeur instimable, il représente un biche morte exténuée parune courte poursuite. 

Juillet 2009



Brèves

Océanographie

El Tarf
Deux dauphins échouent à El Kala

Deux dauphins en décomposition ont été découverts par les éléments du parc national d'El Kala, à la plage d'El Aouinet , dépendant de la commune d'El Kala, wilaya d'El Tarf. Victimes des filets de pêche, les deux cétacés ont été ensevelis dans la terre par le département de zootechnie du centre universitaire afin de récupérer plus tard leurs ossements.

> Mai 2009

Ornithologie

Parc National de Chréa
Découverte d'un nid de circaète

Le nid d'un rapace originaire d'Afrique tropicale, un circaète ou aigle Jean le Blanc, a été découvert dans la cédraie de Ghellaie qui fait partie du massif de Chréa, siège du parc national du même nom.

Tout de suite une équipe de jeunes vétérinaires a profité pour suivre toutes les étapes de la reproduction jusqu'à l'éclosion deux mois plus tard d'un petit oiseau, qu'ils ont vite fait de baguer. La femelle ne pond en général qu'un seul ouf. Selon les responsables du parc, c'est la première fois que cette espèce de rapace est observée dans ce site protégé. Le couple de circaète en question aurait sans doute trouvé de bonnes conditions pour son alimentation et un gîte favorable pour sa progéniture, d'ou cette halte durable dans la cédraie, située dans un couloir de migrations de plusieurs espèces d'oiseaux.

> Septembre 2009

Ornithologie

Zone humide d'Ezzemoul
Baguage record de 638 poussins flamands roses à Guelma

Sous la houlette du professeur Boudjemaâ Samraoui, du laboratoire de recherches et de conservation des zones humides de l'université de Guelma, il a été procédé au baguage d'un nombre impressionnant de flamands roses dans le lac d'Ezzemoul.

Flamands roses dans le lac d'Ezzemoul Photo: www.flickr.com/ photos/bsamraoui

Plus de 120 volontaires, qui se sont donnés rendez-vous, le 31 juillet 2009, devant l'immense lac de 6000 ha, ont participés à cette opération.

> Septembre 2009

Environnement

Aïn Témouchent
160 baigneurs pris d'un mal étrange

Des baigneurs fréquentant les plages de Terga, Chatt El Hilla et Nedjma dans la wilaya de Aïn Témouchent ont été pris durant la mi-juillet 2009, par un étrange malaise, occasionnant des gênes respiratoires, des irritations du larynx et des yeux et des éternuements répétitifs. Certains vomissaient, alors que d'autres toussaient et avaient des excès de fièvre.

Malgré les «prélèvements» effectués en mer et d'autres échantillonnages, aucune suite, ni information, n'ont été données , ni diffusées...

> Juillet 2009

Environnement

Skikda
Un étrange nuage envahit la ville

Plusieurs personnes ont été pris de malaise et de picotement dans les gorges dans la ville de Skikda, suite à un nuage de fumée à forte odeur de métal brûlé, qui s'est abattu depuis les allées du 20 août 55 jusqu'au centre ville, dans la nuit du vendredi 17 juillet 2009. L'apparition du nuage est du à l'explosion d'un atelier dans la zone industrielle de Skikda. ....

> Juillet 2009

Archéologie historique

Tlemcen
Départ de l'étude scientifique du charnier d'Asfour

Le charnier découvert au mont Djebel Asfour, constitué de trois tranchées d'une longueur de 40 mètres chacune, et regroupant les restes d'un millier de chouhadas, fera l'objet d'études scientifiques conduites par des scientifiques et historiens...La découverte de ce charnier fut fortuite, lors de travaux d'extension d'un chemin de montagne qui longeait, durant la guerre de libération nationale, un campement militaire français, près du lieu-dit « El-Guenater ». Il est situé entre les communes de Béni Boussaïd et Béni Snouss.

> Août 2009

Archéologie

Tiaret
des squelettes d'humains découvert à Naïma

Deux squelettes presque complets, ainsi que des ossements appartenant à trois autres personnes, dont celui d'un enfant, ont été charriés par les pluies torrentielles qui se sont abattues dans la localité de Naïma, trente kilomètres au sud de Tiaret. Selon le maire du district, ces squelettes exhumés par la nature, proviendraient probablement d'un ancien cimetière, aujourd'hui non utilisé, et qui pourrait remonter à plus de deux siècles...

En attendant des éventuelles fouilles, un périmètre de sécurité a été mis en place et les eaux qui noyaient les ossements ont été totalement pompées. .

> Septembre 2009

Archéologie

Constantine
Découverte de nouveaux vestiges archéologiques à El Khroub

C'est en creusant les fondations de logements individuels, au lieu-dit «El Mouzina», dans la commune d'El Khroub, 20 k au sud de Constantine, qu'un entrepreneur, a mis à jour d'importants vestiges archéologiques.

Pour prouver, le peu de considérations qu'on porte à notre patrimoine archéologique et historique, il faudrait se remémorer, que à la fin des années 80, les alentours du site en question, ont été le fruit d'une découverte analogue. On avait à l'époque seulement réduit le nombre de bâtisses, sans pour autant donner lieu à quelques fouilles sérieuses et académiques, ni même juger utile de protéger le lieu, pour une recherche future. Ce site, ne pourrait-il pas appartenir à la « Confédération Cirtéenne» ? Pauvre ruine!, pauvre Kherba...!

> Septembre 2009

Commémoration

Béjaïa
Cheikh El Haddad (1790-1873) réinhumé chez lui

136 ans après sa mort, les ossements du Cheikh El Haddad et ceux de son fils Aziez, ont été transférés du cimetière du Koudiat de Constantine, vers son village natal à Seddouk, selon ses vifs voux d'être enterré parmi les siens.

Cheikh El Haddad, est mort à un âge très avancé, à 93 ans. Il était le chef spirituel de la Tarika Rahmaniya et compagnon d'El Mokrani lors de l'insurrection de 1871.

> Juillet 2009


Le journal de jijel-archeo

JAN N° 23 Septembre 2009

Jijel-News

Événement archéologique >

Un autre site archéologique reconnu à Cavallo au lieu-dit "Challate"

Une partie du site

C’est en poursuivant avec mon appareil photo, un 400mm de 5,4 mpixels, un passereau afin de le prendre en image, que je me suis retrouvé à l’interieur de fourrés, désertés en ce mois de ramadhan par des campeurs qui ont néanmoins, laissé derrière eux, des tas de détritus et des tas de saleté, que l'on aurait jamais imaginé que des humains auraient estivé en ce lieu. Je fus tout de suite dégouté, et dissuadé par ces déchets, je rebroussai très vite le chemin. Cela tombait bien, l’oiseau, lui aussi, ce serait enfoui et caché dans les inbrications des branchages.

Vue partielle du  site presque entièrement envahi par la végétation.
© jijel-archeo. 2009

Mais en me retournant, je fus vite intrigué par des pierres bien taillées et en bonne disposition, qu'il est impossible pour un oeil averti de les louper. Que faire? On a pas le choix, je rentre alors parmi les détritus pour en savoir plus. Surprise, d’autres blocs, également sculptés, jonchent le sol parmi les fourrés et à l’abri des regards. Je continue l’exploration du terrain et je fais le tour du bosquet pour en apprécier les limites du site. 

Selon une première estimation que j'ai faite, le site posséderai des côtés de trente mètres chacun environ, bien qu'il ne soit pas de forme carrée. Une autre étude topographique s'impose. À l’est,  il est délimité par une ravine. Au nord il regarde la mer à deux mètres environ au dessus du niveau de celle-ci. Au sud et à l’ouest , c’est un terrain ou l’on cultive des fourrages, qui l'entoure. Une seule idée m’est passée par la tête. Suis-je en présence d’un nouveau site archéologique, ou bien, a t-il été dèjà décrit?  Je n'en ai pas la preuve. 

Vestiges à Cavallo Vestiges à Cavallo Vestiges à Cavallo Vestiges à Cavallo Vestiges à l'intérieur des fourrés Vestiges à Cavallo Quelques photos de pierres taillées. © jijel-archeo. 2009

Donc, après le site découvert il y a quelques temps près de l’oued Bourchaïd (Voir Jan N°22 juin 2009), ce serait le deuxième vestige archéologique que l’on rencontre au niveau de la région de Cavallo, dénotant dès lors, une occupation particulière durant les temps antiques, sans qu’il ne soit possible d’en déterminer Une pierre sculptéela période, aucune inscription ne nous est parvenue, et à défaut de fouilles sérieuses et professionelles. Car, je suis tout à fait certain que tout aussi la période phénicienne et romaine pourrait être présentes dans ces terrains.

Une pierre bien travaillée retrouvée cassée sur le site en question. © jijel-archeo. 2009

D’ou l’urgence des préservations et des études archéologiques imminentes. Il faudrait tout de go clôturer les deux sites en question, et interdire le camping dans le second. Cavallo, pourrait à l’avenir posséder un circuit touristique archéologique, en dégageant les deux sites ; et j’en suis sûr qu’il y en aura d’autres, et peut être même, arriver à la doter, la charmante, d’un musée à sa mesure. Un grand atout culturel et touristique pour la cité connue surout pour son côté balnéaire. Seulement tout doit être fait par des experts en donnant la priorité aux études sérieuses et aux stratégies de développement durable.

Karim Hadji pour jijel-archeo 2009


Environnement >

Une maison de l’environnement à Jijel

Une maison de l’environnement , également dénomée « maison Dounia », sera construite au chef-lieu de la wilaya de Jijel,  à l’entrée est de Jijel.  Ce centre possèdera une mission pédagogique de sensibilisation et d'écoute sur les questionsaussi diversifiées et délicates que celle de l'environnement. Que ce soit au niveau local ou régional parmi la population et le public en général sur tout ce qui concerne la protection de l'environnement et les pratiques écologiques, encore balbutiantes chez nous. Parmi les missions dévolues à cette maison de l’environnement il s’agira de renforcer la présence, la proximité et la sensibilisation sur l’environnement et de son administration au niveau de la région,.....! d’être disponible, à l’écoute et aux côtés de la population...? et du public pour tout renseignement, sujet ou toute question en relation avec l’environnement. Il est question aussi d’organiser des activités de sensibilisation, d’information et de vulgarisation pour un large public autour des thèmes et domaines relevant de la protection de l’environnement et de l’écotourisme. 

Ce futur établissement, selon ses concepteurs,  aura également pour tâche de participer à la création et à l’animation de clubs verts...! dans des établissements scolaires, centres de formation et maisons de jeunes, assurer le cadre expressif de mobilisation et d’action du mouvement associatif...! autour des questions liées à l’environnement et au cadre de vie et d’informer sur les particularités de la région et de son milieu naturel. 

Résumé presse 2009



Algérie-News

Cartographie sous-marine >

Lancement du programme «SPIRAL»

Sous l'égide de la direction de la recherche scientifique, la DG-RSDT, du ministère de l'enseignement supérieur, un programme de cartographie sous-marine de la côte algérienne, a été lancé à Aïn El-Turck (Oran).

Dénommé «SPIRAL» pour (Sismique Profonde et Investigation Régionale Algérienne), il est réalisé en partenariat avec l'IFREMER et autres institutions universitaires du côté français, et du CRAAG et de la SONATRACH du côté algérien. Le coup d'envoi de la recherche a été fait solennellement sur le bateau français «Atlanta».

À ce propos, une thèse dirigée par le professeur Jacques Déverchère, de l'Université de Bretagne Occidentale, intitulée: «Aléas sismiques en zones côtière: contraintes par imagerie sismique pénétrante à la connaissance de l'évolution d'une marge cérénozoïque réactivée en compression», sera complétée par une étude de la marge algérienne.

Les chercheurs réunis ensemble, ont affirmés que: «le sujet vise en priorité la redéfinition précise de l'aléa sismique dans la zone côtière algérienne en prenant en compte de manière intégrée les structures sous-marines et aériennes.  Le système de déformation se distribue en Algérie, sur une large zone allant du pied de la marge en mer à la limite du front de chevauchement dans la zone tellienne corespondant à la collision continentale miocène. Il est primordial pour cela, d'argumenter la dimension et le degré de connexion spatiale des structures actives (plis, failles), ainsi que leur relations géométriques».   Selon Déverchère, « Les données géophysiques et géologiques actuelles sont insuffisantes...», et d'ajouter; « peu d'attention a encore été portée aux phases initiales de la subduction, correspondant au début du sous-chariage d'une plaque océanique sous un continent, contrairement aux marges directes actives à fort potentiel sismogène comme lors du cas par exemple du seïsme de Sumatra, en 2004.»

Et en revenant sur l'interêt de l'étude de l'évolution de la marge algérienne, il soutient l'importance «que représenterait ce  type de processus, qui prendrait le relais d'une subduction en cours d'achèvement à terre, celle de la «Téthys Maghrébine», en inversant tectoniquement une marge passive ou coulissante cénozoïque. Ce système de déformation s'est tragiquement illustré à Boumerdes, lors du seïsme du 21 mai 2003, de magnitude de 6.9 et qui avait  fait 2600 victimes.»

Les données qui seront acquises, complèteront les résultats scientifiques de ces dernières années sur les domaines continental et océanique. Et permettront d'actualiser les données géologiques et géophysiques des côtes algériennes très peu étudiées jusqu'ici.




Découverte archéologique >

Un site archéologique découvert en plein centre d'Alger

La mosaïque de la Place des Martyrs Alger

Dans le cadre des préparatifs de la réalisation de la ligne de métro Grande poste-Place des Martyrs, un accord de coopération pour le diagnostic archéologique des sites enfouis sous la place des Martyrs, a été signé entre l’office national de gestion et d’exploitation des biens culturels et l’Institut français des recherches archéologiques préventives (INRAP). La place des Martyrs, a déjà connu dans les années 90, la découverte d'une mosaïque dans un site dont on ne soupconnait point l'ampleur...

La mosaïque de la Place des Martyrs à Alger. Photo: AFP Internet

Le ministère en charge du projet du métro et celui de la culture, ont convenu de la nécessité d’adapter les travaux à la nature du site qui renferme des vestiges archéologiques qui « constituent la mémoire et l’identité algériennes » et « doivent être préservés pour les générations futures ». 

Depuis donc,  le début du mois de juillet, le site est soumis à des opérations de diagnostic et de fouilles archéologiques, sous l'oeil de nombreux curieux venus jeter un coup d'oeil sur ce type de travaux et d'études, rares en Algérie. Selon des amoureux de l'archéologie algérienne, « pour la première fois, le pays (l'Algérie) a décidé de procéder à des fouilles poussées du sous-sol. Et c’est un véritable trésor qui a été mis au jour. Des vestiges, remontant à l’Antiquité soit plus de 2000 ans d'histoire, sur une surface de moins de 50 m de longueur. »

Selon une dépêche de l’AFP, «dans un premier temps, les archéologues ont mis à jour des vestiges de l’époque ottomane, du XVIe au XIXe siècle : des ateliers de ferronnerie, un marché, des rues pavées et probablement une mosquée. Puis, ils ont découvert une basilique du Ve ou du VI siècle. Sur place, on distingue encore très bien ses mosaïques (certaines décorées de croix) et leurs couleurs». Après sa destruction, le lieu aurait servi, selon le responsable des fouilles « de cimetière où l’on a découvert un nombre de sarcophages dont l’un contient les ossements d’un enfant et d’un bébé». « La couche supérieure renferme un quartier des artisans qui a été complètement rasé en 1831 par les forces coloniales où des pièces de monnaie et d’autres en cuivre et métal ont été découvertes,». 

Plus bas encore, en continuant leurs recherches, les archéologues et historiens, espèrent trouver des restes de l’époque romaine d’Alger, ceux d'Icosium. Mais le temps qui leur ai imparti est très court, jusqu'au mois d'août au maximum. Dans tous les cas, notre interlocuteur insiste qu' « un rapport détaillé sera remis, après ses fouilles de sauvetage, aux autorités algériennes sur la nécessité ou non de poursuivre l’opération en question ».




Trafic de pièces archéologiques >

Plusieurs objets et oeuvres d'art récupérés à Skikda

La section de sécurité et d'intervention de la gendarmerie de Skikda a récupéré plus d'une centaine de pièces antiques et oeuvres d'art, dont une trentaine, se sont avérés être des originaux, selon une expertise faite par le ministère de la culture. La directrice du musée des Beaux-Arts d'Alger, Mme Dalila Orfali, a confirmé  « la valeur artistique et historique des oeuvres originales ». Selon la responsable du département de la conservation du patrimoine culuturel, les pièces originales récupérées se composent de statues en bronze et en cuivre doré, de deux becs à gaz fabriqués en Suède, d'une vieille montre de poche, d'un dollar américain en argent, d'une louche en ragent et de bougeoirs du XIXe siècle. Buste au musée de Skikda Tous ces objets, sont conservés à la direction de la culture de Skikda, en attendant d'être placés dans un musée, dont la ville en manque cruellement.

Un buste provenant de Skikda. Photo DR Internet.


Patrimoine >

L'astrolabe de la Grande Mosquée d'Alger retrouvé en France

L'instrument datant du début du XVIIe siècle, a été découvert par le professeur Ahmed Djebbar, ex-ministre de l'éducation, chez une famille française, «qui en a hérité dans le cadre d'un héritage familial». Selon Djebbar, qui en a pris des photographies, «l'astrolabe mesure 20 cm de diamètre et c'est apparemment un exemplaire unique parce qu'il est signé, daté et qui semble t-il serai une commande auprès d'un artisan spécialisé».

> Juillet 2009


Sismologie >

Séismes en Algérie de (Juillet à Septembre 2009)
Wilaya Magnitude Date Heure Épicentre Observation
Mila 3.9 11/09/2009 21h 00 12 km S-O de Chelghou Laïd /
Sidi Bel Abbes 3.5 26/09/2009 00h 31 09 km des Monts Tessala /




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