jijel-archeo

jijel-archeo

Le Journal d'@rcheon@t

Tous les journaux
 
Journal-archeonat N° 22, Juin 2009

Bloc-Notes
Le Wali de Béjaïa signe les arrêtés pour la protection de six sites historiques

Il s'agit des sites historiques archéologiques suivants l'ensemble, Cheikh Ahedad à Seddouk Oufella, la Qualaâ de Béni Abbès, l'acqueduc romain de Toudja, le fort de Sidi Abdelkader, le fort Gouraya et la grotte préhistorique d'Afalou Bou R'Mel dans la commune de Melbou.

Mai 2009
Le patrimoine archéologique de Bouhanifia saccagé

Le buldozzer, encore lui, fait des siennes en rasant les ruines romaines de Hammam Bouhanifia , sacrifiant ainsi la cité antique d'Aqua Sirensis pour en faire un champ de culture de melons. Pour les directoires de la culture, le mois du patrimoine passé, on saute au mois de repos...

Juin 2009
Tébessa bénéficie d'un projet de réalisation d'un musée régional

L'infrastructure en question d'un coût de 50 millions de dinars, s'étend sur une superficie totale de 4227 m2, dont 1 872 bâtis, et permettra de mettre en valeur diverses pièces archéologiques et autres objets allant de l'ère romaine à la civilisation musulmane, en passant par les époques byzantine et vandale. Le chef-lieu dispose également d'un autre musée communal d'archéologie contenant des pièces archéologiques, des ustensiles en poterie utilisés par les anciens habitants de la région.

Janvier 2009
1.500 titres manuscrits rares répertoriés dans la vallée du M'Zab

Environ 1.500 titres manuscrits, détenus dans les bibliothèques familiales de la région du M'Zab ont été repertoriés dans le cadre de sauvegarde et de valorisation des manuscrits du M'Zab grâce au soutien de l'union européenne et l'agence de développement social. Plus de 8.000 manuscrits rares de l'école Ibadite ont été répertoriés dans la vallée du M'Zab.

Juin 2009




Brèves

Archéologie

El Tarf
Découverte d'un site archéologique à El Tarf

Un site archéologique, qui remonterait à l'époque romaine, a été mis au jour au lieu-dit Sebaa R'goud, non loin d'El Tarf, pendant les travaux de réalisation du tronçon de l'autoroute Est-Ouest qui traverse la wilaya. Selon des spécialistes du Centre national de recherche archéologique, dépêchés sur les lieux, il s'agirait de pièces de monnaie ancienne en voie d'identification, d'un sarcophage taillé dans la roche, d'un mur d'enceinte, des objets en céramique ainsi qu'un dolmen. L'opération de sauvetage, si s'en est une, a consisté à «transférer un peu plus loin les pièces archéologiques découvertes». Pour dire que le tracé de l'autoroute est immuable, comme nos hommes...

> Février 2009

Archéologie

Tizi Ouzou
Découverte d'un cimetière romain à Tigzirt

La région de Tigzirt, localité balnéaire à une trentaine de kilomètres à l'est de Tizi Ouzou, vient d'ajouter un autre site historique et archéologique de valeur à son riche listing de témoignages vivants de la présence ancienne de puissances politiques étrangères. Si les ruines romaines, face à la Méditerranée, et le mausolée de Taksebt constituaient jusqu'à présent les sites archéologiques les plus connus du public de l'enchanteresse petite localité, ayant fait l'objet de travaux de recherche, un citoyen du village Aït Saïd (commune de Mizrana) a récemment découvert un autre trésor archéologique sur son terrain soumis aux engins de terrassement pour une nouvelle construction individuelle. Il s'agirait de ruines d'un cimetière romain, des restes de poterie et de statuettes datant de la même époque, selon les premières informations recueillies auprès d'habitants de la localité. L'appellation kabyle du terrain de cette importante découverte, à savoir «timezguida», synonyme de «cimetière» en français, conforte l'hypothèse selon laquelle il s'agit bien d'un ancien cimetière romain. L'exploitation du site à des fins scientifiques serait en voie après la visite de chercheurs du bureau de Tigzirt et des responsables nationaux de l'Agence nationale de l'archéologie. Cela ne mérite-t-il pas une annonce médiatique à la mesure de la découverte ?

Source: Presse > Mars 2009

Archéologie

Mila
Découverte d'un nouveau site archéologique à Aïn Kerma

Au mois d'avril dernier, il a été mis à jour à des vestiges d'un site vraisemblablement romain à Mechta Aïn Kerma au sud de la commune de Oulad Khelouf, wilaya de Mila. Selon les premières observations effectuées sur le terrain, les ruines s'étendraient sur une surface de 8 hectares environ où l'on remarque des pierres taillées de grande facture jonchant le sol à coté de bases de colonnes et des colonnes du monument principal. Des fragments de poterie complètent le tout. Le site renferme également ce que l'on pourra apparenter à des citernes ainsi qu'un puits de 3 mètres de circonférence. Les éléments d'une huilerie trouvée laissent penser qu'il pourrait s'agir d'une ferme romaine.

> Avril 2009

Archéologie

Tébessa
Mise à jour de postes romains à El Meridj ainsi qu'un cimetière à Stah Guentis

Un cimetière romain d'une dizaine de tombes a été découvert à Stah Guentis à 120 km du chef-lieu et trois citadelles à El Meridj (à 50 km au nord-est du chef-lieu). Ces dernières auraient servi de poste de surveillance et de contrôle des troupes romaines venant de Carthage pour aller à Lambaesis (Lambèse), via Tébessa.

> Janvier 2009

Océanographie

El Tarf
Deux dauphins échouent à El Kala

Deux dauphins en décomposition ont été découverts par les éléments du parc national d'El Kala, à la plage d'El Aouinet , dépendant de la commune d'El Kala, wilaya d'El Tarf. Victimes des filets de pêche, les deux cétacés ont été ensevelis dans la terre par le département de zootechnie du centre universitaire afin de récuperer plus tard leurs ossements.

> Mai 2009

Écologie

Aïn Defla
Des papillons envahissent les Villes de Aïn Defla

Un nuage de papillons d'une même espèce a traversé la ville de Aïn Defla du sud au nord, ce qui a suscité la curiosité des habitants qui ne sont pas habitué à ce genre de manifestation naturelle. Un phénomène similaire s'est produit au printemps 1979. Ne pourrait-il pas s'agir d'une profusion de vie, quand aux conditions climatiques exceptionnelles de cette année 2008-2009, avec une forte pluviométrie responsable de la quantité de biomasse, mettant ainsi en abondance de la nourriture pour beaucoup d'animaux....dont les lépidoptères.

Papillon > Mai 2009

Écologie

Chlef
Invasion de papillons et de chenilles à Chlef

Des papillons ont fait leur apparition au centre de Chlef, en se déplaçant en masse. Ils sont visibles surtout le long des principales artères, au niveau des magasins et sur les places publiques. Aucune explication n'a été fournie sur ce fait exceptionnel qui intervient dans une période marquée par la montée brusque des températures. Il faisait hier plus de 30 degrés au chef-lieu de wilaya et dans les cités environnantes. Quelques jours auparavant, c'étaient des chenilles provenant de l'oued Cheliff qui avaient envahi les quartiers riverains de l'ouest de la ville de Chlef. Il ne s'agit pas de chenilles des pins, mais d'une espèce rare qui, selon les habitants, a pris d'assaut maisons et vergers de l'agglomération. Le gros a été aperçu à proximité de la nouvelle station d'épuration des eaux usées implantée sur les berges de l'oued en question. Les services du bureau communal d'hygiène ont dû intervenir pour limiter la progression de ces chenilles au moyen d'épandage d'un produit liquide sur les surfaces infestées.

Voyez le genre decommentaire qu'on nous donne pour expliquer un phénomène. Que des incohérences! Aucun raisonnement scientifique. La température, espèce rare, et autres inepties...

Et les solutions de la commune. Des insecticides, périmés à ne pas en douter. Du mazout! peut être, la panacée...

> Mai 2009



Le journal de jijel-archeo

JAN N° 22 Juin 2009

Jijel-News

Archives arabes >

Un manuscrit arabe découvert à Chaddia - Kaous

Un manuscrit arabe datant vraisemblablement du XVIIe siècle, a été découvert à Chaddia près de Kaous, 07 km au sud de Jijel, par un citoyen habitant la même commune. Manuscrit arabe

C'est en creusant le sol qu'il a eu la bonne surprise de le mettre à jour, dans un endroit connu selon son découvreur par la présence de vestiges anciens et autres curiosités naturelles qui furent foulées durant les temps anciens par diverses vagues humaines. Le précieux document est toujours en sa possession et il l'a même, selon ses dires,  proposé à la bibliothèque nationale sans qu'aucune suite n'aboutisse entre eux.

 Ce livre possédant une reliure en cuire et un format 21cm X 18cm, est divisé en trois parties distinctes. 

La première partie est un précis de grammaire intitulé " Aârab Eldjeroumia Fi Ilm Elarabia ". Le manuscrit est composé 15 à 17 lignes par feuille avec une bonne écriture maghrébine, droite: le texte est donné à l'encre rouge, le commentaire à l'encre noire; quelques notes en bas de page. . Le commentaire commence ainsi: la Bismallah puis le copiste fait référence à son auteur probable; Abd El Ghafir Bih...Khaled Ben Abdallah Ben Abi Bakr El Azhari.... 

À gauche: La page du copiste: Photo jijel-archeo. 2009 La feuille du copiste

La deuxième partie intitulée, " Madjmouâ Elbayane Fi Charh Alfad Maoured EL dhamain "est une copie du Radjz (poésie) du maître Abbi Abdellah El Kheraz, que Dieu le fasse éclaireur et intercéder en sa faveur le jour du jugement..., auteur du commentaire de la poésie de Sidi Abou ElHassan Ali  Imam El Djazouali surnommé Aba El Darouali? connu surtout par le nom d' El Zerhouni. Cette partie du manuscrit est d'une bonne écriture maghrébine, droite et de grosseur moyenne. Le premier mot de certaines phrases est indiqué en rouge ainsi que la poésie à deux ou trois vers. Le reste du texte est en noir avec des notes marginales en noir. Chaque feuille comprend 16 à 18 lignes. À la fin de cette seconde partie le nom du copiste nous est donné ainsi que la date de la composition, il s'agirait de: Belkacem Ben Mohamed Ben Mohamed El Khir Ben Mohamed El Hadj El Aissaoui, le 03 du Dou El Hidja 1036 de l'hégire correspondant au Dimanche 15 août 1627.

La troisième partie de l'ouvrage est écrite en petit caractères maghrébins droits, le copiste n'est plus le même, avec des commentaires et des ajouts entourant le texte principal. Quelques mots et vers sont en grands caractères écrits à l'encre rouge. Notes marginales abondantes. Le nombre de lignes dans ce feuillets est plus important, entre 25 et 30. 

Manuscrit Manuscrit Deux feuillets du manuscrit: Photo jijel-archeo. 2009
Karim Hadji pour jijel-archeo 2009


Archéologie sous-marine >

Un bateau ancien gît au fond de la mer à Boublatane - Ziama

Selon Monsieur Mechmeche Djafar son découvreur, l'épave du bateau gît par quelques mètres de fond, à trente cinq mètres du rivage de Boublatane plus connu sous le nom de Plage Rouge à l'ouest de Ziama Mansouriah.

Il avait décelé aux abords de la coque six grands canons, quatre plus petits, des boulets, des caisses et une ancreayant une dimension de quatre mètres sur deux environs. Cet état des lieux pourrait laisser entrevoir une datation estimée entre le seizième siècle, avènement de la période ottomane à Jijel et le début du vingtième durant la période française. Du bon boulot pour les archéologues.

On espère surtout que cette épave ne soit pas pillée et laisser telle quelle jusqu'à sa prise en charge par une structure spécialisée dans l'archéologie sous-marine. L'amateur de plongée qu'est monsieur Mechmeche a eu le mérite de nous la faire connaître et d'une autre manière il a dévoilé malgré lui aux prédateurs de notre patrimoine un autre lieu d'intervention et de vols. Bien équipés et travaillant dans la discrétion et souvent durant la nuit, ils ne manqueront pas de visiter le site. Ne s'intéressant qu'aux objets de valeur, si les autres pièces ne le sont pas, ils ne manqueront point de dénaturer le site archéologique et le polluer. Reste que les habitants de Boublatane et autres sensibles de notre histoire sauront donner l'alerte en temps opportun et avertir les institutions officielles. À moins d'un sursaut d'orgueil de notre ministère de la culture pour y déléguer une équipe de spécialiste algériens et étrangers au vu de la logistique qu'il faudrait déployer et lever le voile sur l'histoire de ce bateau dont on aimerait bien savoir le nom. La saison des grands calmes s'y prête également, en ce début d'été 2009. Les objets récupérés seront pour la région de Jijel sans nul doute d'une grande richesse historique et muséale.




Évenement archéologique >

Découverte d'un nouveau site archéologique à El Aouana - Jijel

Quelques pierres au siteAperçu du site

C'est grâce à Monsieur Mohamed Souilah de Cavallo que l'on a pu ajouter récemment un nouveau site archéologique à la région de Jijel. Des photos prises près du cimetière de la commune et éditées dans jijel-info, l'attestent. Le plus remarquable est la présence encore d'un mur en bocage encore intact typique des constructions romaines et qui pourrait faire l'objet d'une bonne étude. Des pierres taillées de grandes dimensions jonchent également le sol tout près des tombes récentes. Aucune inscription n'a été recensée pour le moment qui pourrait donner un nom à ce site ou à un événement précis. D'ou l'interêtt, maintes fois réitéré, d'une préservation et de recensement des vestiges archéologiques.

Détail du mur Détail
d'un bloc de pierreDétail du mur Autres vestiges sur site. Source photo: jijel-info

Ce qui est étonnant également, l'absence de toute mention de ce site durant la période française là où Charles Féraud parle dans son histoire des provinces de Constantine d'une ruine ensablée au bord de la mer en face de la grande île Afia et de dolmens au sud de Cavallo en direction du village d'El Aouana sans aucune référence sur le présent site à moins qu'il n'était à cette époque totalement enseveli ou caché par les hautes herbes ou la forêt.




Environnement >

Réapparition de la sardine à Jijel

Après des mois de disparition, le poisson réapparaît à Jijel et sur toute la côte algérienne évidement. Une année exceptionnelle ou l'on croyait que quelque chose se passait et les gens allaient de dissertation en dissertation. En effet le mauvais temps a sévi très longtemps et la pluie du mois d'octobre jusqu'au mois d'avril augurant une bonne saison agricole au contraire de la saison de pêche. Mais tout est rentré dans l'ordre au mois de mai quand les premiers filets de sardine ont été remontés et en bon poids. Il y eut grande quantité de sardine et de poissons bleus en général, bonites, maquereaux, saurels, etc..

La corporation a eu peur que cette denrée ne quitte nos eaux et disparaisse à jamais. Des supputations incriminaient la pollution quand à sa rareté, d'autres à la pêche à la dynamite encore pratiquée en Oranie; d'autres enfin à la surpêche exercée sur tous les types de poisson, sans tenir compte de la grosseur de celui-ci. Dès fois, le poisson est attrapé juste au dessus de la taille de l'alevin, sans qu'aucune chance ne lui soit donné pour entamer un cycle de vie, arriver au stade adulte et se reproduire du mois. D'ou, l'importance que l'on doit donner aux inspecteurs de l'environnement et aux études des différentes espèces biologiques qui peuplent nos côtes. Il faudrait tout de suite s'alarmer quand une espèce commence à décliner et ce n'est pas les exemples qui manquent. Dans quelques décennies à l'exemple de l'agriculture on parlera alors de mono-pêche. Et ce sera dommage. Il faudrait cependant choisir, et c'est maintenant de décider, pas demain, entre l'argent d'abord et adieu la biodiversité, ou la biodiversité d'abord et l'argent toujours. C'est l'un des concepts du développement durable. Mais qui s'en soucie?

jijel-archeo 2009




Algérie-News

Événement archéologique >

Un site archéologique officiellement reconnu grâce à un bénévole

C'est grâce aux recherches effectuées à titre personnel par le docteur Reffas Driss, au douar Souabria près de Sfisef qu'il fut reconnu un nouveau site archéologique dans la wilaya de Sidi Bel Abbes. L'auteur avait pressenti l’existence d’un site antique proche de Sfisef, Aquae Sirensis (Hammam Bouhanifia), en s’intéressant à l’existence d’un évêché donatiste tenu par un certain Honoratus qui assista à la conférence épiscopale de 411 à Carthage où il représenta également l'évêque de Quiza, en l'absence de celui-ci à ce même concile.

Jusqu’à cette découverte, le lieu était inconnu des historiens et archéologues. En outre, il fut orienté dans ces investigations par une vieille personne de Sfisef, un centenaire, qui lui avait indiqué le lieu d’une fontaine antique, celle de Aïn Bent Soltane sur le versant non loin d’un cimetière chrétien et mise à nu par le phénomène de l’érosion. Les gens du douar également, en labourant les champs, furent à maintes reprises en présence de tessons de poterie ainsi que des pièces de monnaie anciens. En remettant au musée Ahmed Zabana d'Oran, une série d'objets collectés sur le site par monsieur Reffas, parmi eux, 14 fragments de poterie à des fins de datation, celui-ci eut vite confirmation de son flair par les experts de leur appartenance à l’époque romaine. 

Poterie de Robba (Sfisef) Poterie de Robba (Sfisef) Poterie de Robba (Sfisef) Quelques fragments de poterie récoltés sur le site -
Avec l'aimable autorisation de l'auteur, le Docteur Driss  Refas de Sfisef
Poterie de Robba (Sfisef)

Il s’agissait alors de connaître la relation avec le personnage de Robba « fille de la cité de M'cid (Sfisef), qui est la première dame résistante de l'Algérie antique », selon certains. Et selon notre auteur « porte étendard de l’influence donatiste» dans cette contrée romaine durant les révoltes sociales qui secouèrent la Maurétanie durant ce temps. « Son nom, fait inévitablement référence au Djebel qui porte à ce jour le nom de Robba».

Robba est née vers la fin du 2e siècle (384) et succomba en l'an 434 sous les coups de ses «traditeurs». Restera à prouver aussi qu'elle soit native de la région de Sfisef, bien que son nom, son combat et son histoire légendaire, nous est parvenu jusqu’à nous, colportés de génération en génération. Cette découverte honore son auteur, le Dr Reffas Driss. Il en faudrait des milliers comme lui en Algérie.




Trafic de pièces archéologiques >

Une statue volée du site de Djemila récupérée

La borne (Avec l'aimable autorisation de Snakito)

Un coup de filet tendu par les éléments de gendarmerie nationale de Sétif a permis de récupérer une statue romaine, volée du site antique de Cuicul (Djemila) etreprésentant l’effigie du Dieu Saturne, que quatre individus tentaient d’écouler sur des circuits de contrebande bien organisé. L’objet récupéré date selon certaines sources du IIe siècle. Ce réseau est également spécialisé dans le vol des pièces archéologiques de grande valeur a été présenté devant la justice.

La fontaine de Cuicul (Djemila). Avec l'autorisation de Snakito


Sismologie >

Séismes en Algérie de (Avril à Juin 2009)
Wilaya Magnitude Date Heure Épicentre Observation
Médéa 3.8 09/04/2009 11h 58 10km Sud de Berrouaghia /
Guelma 4.3 18/04/2009 05h 23 05km S-O de Roknia /
Relizane 4.5 12/06/2009 06h 40 05km Nord Belassel /

Selon le Craag, l'Algérie enregistre 50 micro-secousses par mois dont 90% ont une magnitude inférieure à 3 sur l'échelle de Richter.




Journal précédent Sommaire Journal suivant
 

 
Imprimer| Haut de page| Retour| Ajouter aux Favoris| jijel.archeo@gmail.com

Site réalisé et édité par Archeonat & Jijel-Archeo - © Copyright 2006-2016 Tous droits réservés. Aucune partie de ce site ne peut être reproduite, stockée, copiée ou transmise par aucun moyen, sans une autorisation préalable de l'éditeur, sauf pour le seul usage personnel ou scolaire. All right reserved. No part of this publication may be reproduced, stored in a retrieval system, or transmitted in any form or by any means, electronic, mechanical, photocopying, recording or otherwise, without prior written permission of the publisher, except for only personal use or school.
Recherche et référencement