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JAN N° 19 Septembre 2008 |
Une lampe ancienne en terre cuite, vraisemblablement d'époque romaine, a été mise à jour le 18 septembre 2008, par M. Boukeffous Noureddine ben Mebarek, sur le site maintes fois prospecté et signalé par lui, au lieu-dit Bousselb, à Bouafroune, commune de Oudjana, daïra de Taher, à 25 km environ au sud-est de Jijel, chef lieu de wilaya.
Lieu de la découverteà BouafrouneLe miroir de la lampe laquelle manque le bec et l'anse, est rond muni d'un rebord avec en son centre un trou asymétrique par lequel on devait verser de l'huile d'éclairage, donnant à cette poterie un aspect assez commun. On ne décèle aucun dessin, ni motif décoratif, encore moins l'inscription du potier qui pourraient aider à une éventuelle datation.
Lampe à huile © Photo: M.T.F.2008Signalons que le site en question, lieu de cette découverte, a révélé en juin dernier, selon «son prospecteur», de nombreux tessons de poteries qui présageraient l'existence d'un site archéologique en ce lieu..., preuve qu'il en existe d'ailleurs de pareils à travers toute la wilaya de Jijel et que l'on ne saurait démontrer pour le moment l'importance, vu le nombre limité d'indices probants.
Synthèse Karim Hadji pour jijel-archeo (Septembre 2008)Une station d'épuration d'une capacité de traitement de 26.000 m3/jour, dont les travaux d'exécution ont été confiés à un groupement algéro-autrichien, viendra renforcer les capacités de dépollution et de traitement des eaux usées de la wilaya de Jijel à El-Milia, après celle du chef lieu, non encore en service. Le délai du contrat est de 20 mois pour un montant de 1.59 milliards de dinars.
Espérant tout de même qu'on tiendra compte des rejets des métaux lourds et autres polluants chimiques, émanant de la tannerie au niveau de la ville d'El-Milia sur les berges de l'antique Ampsaga. Bien que celle-ci soit dotée d'une unité de traitement...!, on se souvient de la contamination de l'oued El Kébir il y a quelques temps, lorsque l'on a retrouvé au niveau de son embouchure une quantité de poissons retrouvés morts à la surface de l'eau, sans qu'aucune suite ne soit donnée à ce déplorable événement.
Synthèse jijel-archeo (Septembre 2008)Lors du premier sondage, qui s'est déroulé sur le site situé du côté ouest de la mosquée Djemaâ El Djedid, «un boulet de canon en métal et des fragments de céramique ont été mis à jour», selon Farid Fettouche, responsable du patrimoine à la Direction de la Culture d'Alger.
En outre, « Une grande quantité de céramique fragmentée ainsi que des fragments de verre, des briques pleines, des tomettes et des structures de mur en briques pleines, disposées en champs (pose spécifique à l’époque ottomane), ainsi que des structures de l’époque coloniale», ont été découverts par les archéologues de la Direction de la Culture d’Alger, lors du second sondage.
Reste maintenant la question de la restauration et de la préservation, cet atavisme négatif qui nous colle par la faute de certains «responsables irresponsables»». Rappelons tout de même, qu’il y a quelques années, un bassin d’une maison péristyle avec un panneau mosaïcal romain ont été mis au jour dans l’îlot Lallahoum. Après avoir été clôturé et protégé, le site est, depuis plusieurs mois, livré à lui-même et sert de gîte aux SDF.
Même les individus ne sont plus positifs...
Sources: presse Mai 2008Une station scientifique comportant une direction et un laboratoire de recherche sera construite dans la localité de F'kirina dans la wilaya d'Oum El Bouaghi, afin d'étudier la dynamique des chotts et freiner l'avancée du désert.
Étalé sur 150hectares environ, ce centre financé par le haut commissariat pour le développement de la steppe (HCDS) englobera 5 wilayas dans son champ d'action, à savoir Oum El Bouaghi, Khenchela, Batna, Tébessa et Sétif. Une station pastorale, avec un centre de développement de la race ovine à Dhalâa, ainsi qu'une opération de pose de panneaux solaires seront également réalisées par le HCDS, pour promouvoir les zones steppiques et les pacages.
Synthèse jijel-archeo (avril 2008)L'historien était pris en charge à l'hôpital Kremlin-Bicêtre, dans la banlieue parisienne. Né en 1923 à Lyon, Charles-Robert Ageron a fait des études d'histoire. Jeune agrégé, il est nommé en 1947 au lycée Théophile-Gautier à Alger. En 1957, il est professeur au lycée Lakanal de Sceaux, puis de 1959 à 1961, il est attaché de recherches au CNRS.
En 1961, il a un poste d'assistant puis de maître-assistant à la Sorbonne, il y enseigne jusqu'en 1969. En 1968, il soutient sa thèse d'Etat, sous la direction de Charles André Julien, un autre spécialiste de l'histoire de l'Algérie, intitulée "Les Algériens musulmans et la France 1871-1919".
Maître de conférences, puis professeur à l'université de Tours de 1969 à 1981, puis à l'université Paris XII dont il est professeur émérite, Charles-Robert Ageron s'est retiré, ces dernières années, du fait de sa maladie de la vie intellectuelle et universitaire française.
Durant plus de quatre décennies, il n'a pas cessé d'explorer l'histoire contemporaine de l'Algérie, l'abordant sous trois angles d'attaque définissant chacun un genre : celui de la thèse où on se devait d'élaborer une somme monumentale, celui de l'ouvrage de synthèse, où on se propose de lire une époque et celui de l'article, où on pointe la focale sur un problème en suspens, soit pour compléter.
Wilaya | Magnitude | Date | Heure | Épicentre | Observation |
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Batna | 3.5 | 07/07/2008 | 01h 08 | 11 km N-O Batna | / |
Chlef | 3.5 | 16/07/2008 | 01h 30 | Béni Rached 10 km N-O Chlef | / |
Alger | 3.0 | 06/09/2008 | 11h 47 | 06 km N-E Aïn Taya | / |
Tizi-Ouzou | 3.7 | 15/09/2008 | 11h 35 | 10 km N-O Tigzirt | / |